PALUDISME ET HIV 1982-1987 Suspicion dIO (PALU I dépresseur) Rien de précis (I Dépressions différentes) 1987-1998 Peu darticles sur le terrain (AF Centrale



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Page 1 PALUDISME ET HIV 1982-1987 Suspicion dIO (PALU I dépresseur) Rien de précis (I Dépressions différentes) 1987-1998 Peu darticles sur le terrain (AF Centrale et Est Cas sévères – Adultes) 1998-2001 Enquêtes – ABIDJAN ++ 1° cause dhospitalisation pour fièvre des sujets séropositifs Page 2 HIV cofacteur de PALUDISME SEVERE (Pf) chez les ADULTES (AF du SUD) Grimwade 2004 613 cas de PALU 180 SUR 613 sont co- infectés HIV(30 %) 110 Formes sévères sur 613(18 %) (et/ou compliquées)sur 180 ( 60 %) 28 décès sur 180 (15 %) (sur 613 4,8 %) Page 3 PALU –HIV –GROSSESSE CONSEQUENCE 1) la mère ACCES FEBRILES CRISE DE PALU (Pf+) ANEMIES PRIMIPARES+++ ( immunite naturelle surtout réponses vis à vis des Ag Placentaire ) 2001-2004Kenya-Malawy 20 à 25 % coinfection chez les femmes enceintes Page 4 PALU - HIV - GROSSESSE CONSEQUENCES 2) ENFANT Délivrances prématurées Petit poids de naissance Anémies (Palu Congénital = ) (aggravation des résultats déjà délétères de Palu/Grossesse) Retard de croissance in -utero Coinfection CV Périphérique maternelle CV placentaire ( x 2 à 3) Risque augmenté TME de HIV Page 5 Page 6 Page 7 Page 8 Page 9 Page 10 Page 11 PALU –HIV –GROSSESSE PREVENTION 1) Avant HAART CQ ??? (même si active in vitro) SP assez bons résultats dun Tt non stop de laccès à laccouchement 2) HAART OK si IP, risque dinteractions avec Mefloquine (Lariam ou association comportant du Lariam) Page 12 HIV et PARASITOSES INTESTINALES (S MANSONI ) 1) Cytokines et réplication du VIH chez rhésus infecté par SIV 2)Etude au Kenya chez des femmes enceintes concernant PALU et HELMINTISTES (SMANSONI-Ankylostomes filarioses lymphatiques) Risque de TME liée aux helminthes (oui mais peu significatif de p =0,05 à p=0,40) Page 13 INTERACTIONS HIV-PALUDISME PENDANT LA GROSSESSE FAITS DE CONNAISSANCE RECENTE -HIV étend le risque de paludisme pendant toutes les grossesses et pas seulement pendant les deux premières (comme pour les HIV (-) -HIV diminue lefficacité de la prophylaxie et au moins 3 doses de SP sont nécessaires –par ailleurs les moustiquaires individuelles sont particulièrement recommandées- FAITS ENCORE DISCUTES -Est-ce que la double infection augmente la mortalité des nourrissons -Est-ce que linfection HIV maternelle augmente la susceptibilité des nouveaux nés et des jeunes nourrissons ? PAYS OU LA PREVALENCE DU HIV DEPASSE 10 % CHEZ LES FEMMES ENCEINTES : BURUNDI –RWANDA-RCA-OUGANDA-ETHIOPIE-BOTZWANA- MALAWI-ZAMBIE-MOZAMBIQUE-AFRIQUE du SUD Page 14 CONSEQUENCES EPIDEMIOLOGIQUES DE LA DOUBLE INFECTION PALU-VIH La mortalité des enfants de moins de 5 ans a diminué en Afrique Sub Saharienne dans les années 1980-1990 mais la proportion des décès imputables au paludisme a augmenté de 18 à 37 % Particulièrement en Afrique du Sud et du Sud Est où HIV est très prévalent,et où le paludisme est moins fréquent quen Afrique Centrale ou de lOuest mais « instable » Page 15 CONSEQUENCES EPIDEMIOLOGIQUES DE LA DOUBLE INFECTION PALU-VIH La fraction attribuable de cas de palu adultes dus au HIV en AFRIQUE SUB SAHARIENNE (8% de HIV prévalence moyenne ) est de 4 % pour la parasitémie et de 5% pour les cas cliniques,mais si la prévalence atteint 30% (Afrique du Sud Est) cette fraction est de 20% pour la parasitémie et de 35 % pour les cas cliniques Pour des raisons immunitaires les groupes les plus à risques vivent dans les régions de paludisme instable (ou parmi les travailleurs temporaires) Les anémies palustres peuvent être à lorigine dune transmission transfusionnelle de VIH Page 16 CONSEQUENCES CLINIQUES DE LINFECTION HIV SUR LE PALUDISME CHEZ LES ENFANTS ET LES ADULTES (en dehors de la grossesse) EN ZONE DE PALUDISME STABLE : -augmentation des densités parasitaires -augmentation des cas cliniques et des cas mortels(surtout en cas dimmunodrépression profonde) (cas sévères 47% VS 30% pour HIV (-) AFRIQUE du SUD ( cas mortels 16 VS 8 % pour HIV (-) Y penser systématiquement devant tout accès fébrile mais sans méconnaître les autres infections(IO et non IO) EN ZONE DE PALUDISME INSTABLE : -Augmentation des cas sévères avec coma et des décès -Augmentation transitoire de la charge virale VIH (étude chez des adultes) (surtout si > 2000 parasites / microlitre,si CD4







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